Maëlle pour un imaginaire collectif

Son Inquiétude

Que la peur et la haine de l’autre se généralise.
Plus tu as peur d’autrui, plus tu auras peur d’autrui.
Plus tu t’ouvres à la différence, plus tu rencontres la différence, plus tu apaises les peurs fantasmées que ton cerveau produit quand tu ne comprends pas l’autre.
Reconnaître la haine ne doit pas dire l’embrasser mais la comprendre et la traiter pour la faire partir.

La haine mène au pire.
Il est indispensable de comprendre que les problèmes sont systémiques et ont des racines.

Maëlle rêve d’une société plus sobre où l’on mettrait au centre l’essentiel pour vivre et ressentir de la joie, où l’on mettrait au centre le vivant, le lien et la coopération.
Une société où l’on aurait enlevé tout ce qui est superflu.

Être en sécurité, être entouré·e,
Coopérer, faire partie d’un tout,
Créer de la beauté et de la joie,
Être en mouvement,
Vivre en temps long.

Elle rêve aussi d’une société où l’art du conte serait dans nos rituels quotidiens de partage.

Son engagement

Par son métier de dirigeante d’une maison d’édition de livres audio et d’autrice, Maëlle œuvre à développer les imaginaires des enfants, les ouvrir au monde et à l’esprit critique.

En parallèle de son travail, elle accompagne l’orientation d’une jeune lycéenne (avec l’association Télémaque), est investie sur des chantiers écologiques, comme du woofing pour aider des agriculteurices dans leur projet.
Et plus récemment dans le milieu militant de gauche, où elle s’émerveille des rencontres qu’elle fait.

Maëlle Chassard